LONDRES--(BUSINESS WIRE)--L'écosystème financier européen a connu un événement charnière cette semaine, alors que le Parlement européen a adopté l'amendement au règlement (UE) 575/2013, mettant en œuvre la finalisation de Bâle III en Europe.
«Le temps presse pour les établissements financiers de l’EEE, étant donné que le règlement CRR3 est applicable à compter du 1er janvier 2025. Il sera essentiel que les banques et les établissements financiers agissent rapidement et exploitent les technologies transformatrices pour garantir la conformité et la préparation.»
Cette avancée monumentale s’accompagne de l’adoption des amendements du règlement sur les exigences de fonds propres (CRR3), qui font partie d’un paquet législatif plus large, y compris des modifications de la directive 2013/36/UE, connue sous le nom de directive sur les exigences de fonds propres ou CRD.
Jeroen Van Doorsselaere, vice-président, gestion mondiale des produits et des plateformes, Wolters Kluwer FRR, déclare : « L’adoption des modifications du règlement sur les exigences de fonds propres (CRR3) représente un changement historique pour le secteur bancaire, qui vise à renforcer le cadre des exigences de fonds propres basées sur les risques et à faire face aux risques ESG. »
« Il s’agit d’une refonte majeure du cadre des exigences de fonds propres, qui a une incidence sur divers aspects, notamment le risque de crédit, le risque opérationnel, le risque de marché et le plancher de fonds propres. Alors que d'autres juridictions importantes, notamment les États-Unis, le Royaume-Uni et Hong Kong, ont reporté les échéances, la région de l'EEE va de l'avant sans attendre avec les réformes de Bâle III. »
« Le temps presse pour les établissements financiers de l’EEE, étant donné que le règlement CRR3 est applicable à compter du 1er janvier 2025. Il sera essentiel que les banques et les établissements financiers agissent rapidement et exploitent les technologies transformatrices pour garantir la conformité et la préparation. »
Wolters Kluwer Finance, Risk and Regulatory Reporting (FRR) soutient les institutions financières grâce à une technologie innovante qui permet aux clients de rester conformes aux exigences réglementaires en constante évolution, de gérer l'incertitude grâce à des offres de gestion des risques financiers et de stimuler l'efficience.
Wolters Kluwer FRR fait partie de la division Corporate Performance & ESG (CP & ESG) de Wolters Kluwer, dirigée par sa CEO Karen Abramson. La division est le principal fournisseur mondial de solutions logicielles intégrées pour l’ESS, les affaires environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), et la gouvernance, le risque et la conformité (GRC). Grâce à une technologie innovante et à une expertise unique, Wolters Kluwer CP & ESG permet aux chefs d'entreprise de prendre des décisions stratégiques éclairées qui promeuvent la transformation, la performance et la gestion des risques pour un monde durable et résilient.
Pour de plus amples renseignements à propos de Wolters Kluwer, rendez-vous sur www.wolterskluwer.com
À propos de Wolters Kluwer
Wolters Kluwer (EURONEXT : WKL) est un leader mondial de l’information, des solutions logicielles et des services pour les professionnels de la santé, de la fiscalité et de la comptabilité, de la conformité financière et d’entreprise, du droit et de la réglementation, de la performance d’entreprise et de l’ESG. Nous aidons nos clients à prendre chaque jour des décisions cruciales en leur fournissant des solutions expertes qui associent une connaissance approfondie du domaine à la technologie et aux services.
Wolters Kluwer a annoncé un chiffre d’affaires annuel de 5,6 milliards d’euros pour 2023. Le groupe prend en charge des clients dans plus de 180 pays, exerce des activités dans plus de 40 pays et emploie environ 21 400 personnes dans le monde. Le siège de la société se trouve à Alphen aan den Rijn, aux Pays-Bas.
Pour plus d'informations, visitez www.wolterskluwer.com et suivez-nous sur LinkedIn, Facebook, YouTube et Instagram.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.